Casque de dragon - Jean de SUZANNET boîte de transport du casque de dragon del'officier

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Descendant d’une vieille famille vendéenne, Jean de Suzannet avait comme arrière-grand-père, le Général Pierre Constant de Suzannet, qui avait combattu avec Charette et devenu l’un des chefs vendéens, participa activement au soulèvement de la Vendée lors des Cent Jours et fut mortellement blessé au cours d’un combat à Rocheservière le 20 juin 1815. Un autre de ses parents, le Chevalier de Suzannet avait trouvé la mort à Quiberon en 1795 après avoir combattu sous les ordres de l’amiral de Grasse lors de la Guerre d'indépendance des États-Unis et fait le voyage autour du monde dans l'expédition de Bougainville.

 

Carrière militaire

Jean de Suzannet s'est destiné très tôt à la carrière militaire. Élève à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (1903-1905), il entre comme sous-lieutenant à l'École d’application de la cavalerie de Saumur (1905-1906). Quatre ans plus tard, il est affecté au 2e régiment de Chasseurs d’Afrique et prend part aux premières opérations de pacification aux confins algéro-marocain sous le commandement du général Lyautey, pour lesquelles il reçoit la médaille du Maro1.

 

Rapatrié en France à la suite d’une fièvre typhoïde, il se présente en 1911 à l'École supérieure de guerre d’où il sort premier en 1913. Quand la guerre éclate, il est affecté à Nancy à l’état-major du 20e corps d'armée, sous les ordres du général Foch. Nommé capitaine la même année, il est cité à l’ordre de l’armée le 2 novembre 1914 ce qui lui vaut la croix de guerre avec palme. L'année suivante, il est décoré de la croix de la Légion d’honneur et de la Military Cross britannique.

 


Parfaitement bilingue français anglais — sa mère était américaine — il est affecté en novembre 1915, au Grand quartier général et chargé de la liaison avec le Haut commandement britannique. Il obtient de passer provisoirement au 26e régiment d'infanterie qui tient un secteur du front de Verdun. Là, il commande une compagnie, puis le 3e bataillon. En avril 1918, il est cité à l'ordre la 11e division, la « division de fer », ce qui lui vaut une nouvelle palme à sa croix de guerre. Toujours en avril, il est appelé à l’état-major du général Foch où il a servi jusqu’à la fin de la guerre.

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